Covid-19 et tabagisme : la cigarette réduit-elle le risque de contamination ?
Des études cliniques controversées
Face à la propagation rapide du SARS-CoV-2 entre fin 2019 et début 2020, de nombreuses équipes scientifiques à travers le monde se sont mobilisées pour identifier les facteurs de risque et de protection face à la Covid19. Parmi les nombreuses hypothèses examinées, certaines études préliminaires ont soulevé la surprise en suggérant que les fumeurs étaient proportionnellement moins nombreux parmi les patients testés positifs ou hospitalisés pour Covid19, par rapport à la population générale.
Ces résultats, issus principalement d’analyses rétrospectives ou de registres hospitaliers, ont laissé entendre que la nicotine pourrait avoir un effet protecteur contre le virus. Rapidement relayée par les médias, cette hypothèse a alimenté une certaine confusion dans l’opinion publique, parfois perçue comme une justification pour continuer à fumer.
Toutefois, la prudence s’est imposée dès les premières interprétations. Ces études étaient avant tout observatoires et non expérimentales, ce qui signifie qu’elles ne permettaient pas d’établir un lien de cause à effet. De plus, plusieurs facteurs confondants ont été rapidement identifiés. Par exemple, les fumeurs sévèrement atteints par la Covid19 étaient parfois moins susceptibles d’être correctement identifiés comme tels, en raison de données médicales incomplètes ou mal renseignées à l’admission.
Par ailleurs, des éléments comportementaux ont pu fausser les résultats : les fumeurs, souvent conscients de leur vulnérabilité respiratoire, peuvent avoir évité les lieux de dépistage ou minimisé leurs symptômes, ce qui réduirait artificiellement leur présence dans les statistiques hospitalières.
Enfin, certaines de ces études ont été menées dans des pays où la consommation de tabac est fortement stigmatisée, ce qui peut entraîner une sous-déclaration du statut tabagique, même dans les enquêtes médicales. En résumé, la méthodologie de ces études est largement sujette à caution, et leurs résultats ne peuvent en aucun cas servir à justifier ou banaliser la consommation de tabac dans le contexte de la pandémie de Covid19.
Une hypothèse non confirmée scientifiquement
Malgré l’intérêt médiatique suscité par l’idée que la nicotine pourrait avoir un effet protecteur contre la Covid19, cette hypothèse n’a jamais été validée de façon rigoureuse par la communauté scientifique internationale. Les premières études ayant suggéré ce lien ont très vite été remises en question, notamment en raison de biais méthodologiques majeurs.
Plusieurs critiques ont été émises : les échantillons de population étudiés n’étaient souvent ni représentatifs, ni suffisamment larges, les données collectées étaient parfois incomplètes ou mal documentées, et certaines variables essentielles, comme l’existence de comorbidités, les habitudes de vie ou encore le statut socio-économique, n’étaient pas prises en compte. De plus, les méthodes de dépistage utilisées dans ces études étaient souvent peu sensibles, ce qui a pu conduire à des résultats faussement rassurants.
Certaines de ces publications ont même été retirées des revues scientifiques, faute de validation par les pairs ou à la suite de vérifications supplémentaires révélant des erreurs ou des interprétations hâtives. D’autres études, pourtant menées plus rigoureusement, n’ont pas retrouvé de lien protecteur entre la nicotine et le SARS-CoV-2.
Aujourd’hui, aucune preuve scientifique solide ne permet d’affirmer que le tabac ou la nicotine réduisent le risque de contamination ou de forme grave de la Covid19. Au contraire, les données les plus fiables disponibles à ce jour tendent à confirmer que le tabagisme constitue un facteur aggravant important dans l’évolution de la maladie, en raison de son impact sur le système respiratoire et immunitaire.
Tabagisme et Covid-19 : les risques sont bien réels pour les fumeurs
Des données claires de l’OMS
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les fumeurs présentent 40 à 50 % de risques supplémentaires de développer une forme grave de Covid19. Cela inclut une probabilité accrue d’hospitalisation, de placement sous ventilation, d’admission en réanimation et même de décès. D’autres recherches estiment que ce risque pourrait atteindre jusqu’à 80 % pour les grands fumeurs.
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Le tabac, un tueur reconnu
En Algérie, le tabac demeure l’un des principaux facteurs de mortalité évitable. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il serait responsable de plus de 15 000 décès par an dans le pays. Ces chiffres préoccupants précédaient largement la pandémie de Covid-19 et mettent en lumière l’impact sanitaire massif du tabagisme.
Chaque cigarette contient plus de 4 000 substances chimiques nocives, dont plusieurs sont hautement cancérigènes. Le tabac nuit gravement à la santé et constitue un facteur déclenchant ou aggravant de nombreuses maladies chroniques :
– bronchites chroniques,
– infections respiratoires à répétition,
– cancers (notamment du poumon, de la gorge et de la vessie),
– hypertension artérielle,
– maladies cardiovasculaires,
– accidents vasculaires cérébraux (AVC),
– et bronchopneumopathies chroniques obstructives (BPCO).
Ces pathologies, déjà graves en elles-mêmes, représentent également des comorbidités majeures susceptibles d’aggraver fortement le pronostic en cas d’infection à la Covid-19.
Le tabac, facteur aggravant majeur en Algérie
En Algérie, le tabagisme constitue un véritable enjeu de santé publique. Selon les données disponibles, près d’un adulte sur quatre serait fumeur, avec une prévalence particulièrement élevée chez les hommes. Le tabac est directement lié à l’apparition de maladies chroniques graves, telles que les bronchites, les cancers pulmonaires, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) ou encore l’hypertension artérielle.
Ces affections, qualifiées de comorbidités, sont reconnues pour aggraver considérablement l’évolution d’une infection à la Covid-19. Contrairement à certaines idées reçues, le lien entre tabac et Covid-19 est loin d’être protecteur : il expose au contraire les fumeurs à des formes plus sévères de la maladie et à des complications respiratoires majeures.
Les gestes du fumeur augmentent les risques de transmission
Tabagisme et Covid-19 : se protéger, c’est arrêter de fumer
Le lien entre la Covid-19 et le tabagisme est désormais bien documenté. Fumer augmente les risques de développer des formes graves, voire mortelles de la maladie. En effet, les fumeurs présentent souvent des atteintes respiratoires chroniques (bronchites, BPCO) et des comorbidités cardiovasculaires (hypertension, infarctus, AVC) qui les rendent particulièrement vulnérables face au SARS-CoV-2.
En Algérie, ce constat a été souligné à plusieurs reprises par le ministère de la Santé, notamment lors des vagues successives de contamination. Les experts nationaux et internationaux alertent sur le fait que le tabac :
- altère la fonction immunitaire,
- favorise les complications respiratoires,
- aggrave l’évolution clinique en cas d’infection à la Covid-19.
Durant les périodes critiques de la pandémie, les hôpitaux algériens ont connu une forte saturation, en particulier dans les services de réanimation et d’oxygénation. Dans ce contexte, réduire le nombre de fumeurs représente une priorité sanitaire nationale.
Le sevrage tabagique ne vise donc pas uniquement à protéger la santé individuelle, mais aussi à soulager les structures hospitalières et à limiter les formes graves de la maladie chez une population déjà fragilisée par les maladies chroniques liées au tabac.
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Depuis 2020, plus de 500 000 fumeurs ont arrêté grâce à cette méthode. Des milliers d’autres en Algérie, en Tunisie, au Maroc, en Espagne, en France et ailleurs ont franchi le pas. Le protocole est indolore, sans effet secondaire, et convient à tous les profils, même en période de stress ou de pandémie. De plus, la séance laserOstop® est garantie pendant un an : si vous reprenez la cigarette, vous bénéficiez gratuitement de séances supplémentaires de soutien pour vous remettre sur la voie du sevrage.
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